28 décembre 2011

Fin de l'enquête publique sur la Tour Triangle



L'enquête publique pour la révision simplifiée du Plan Local d'Urbanisme qui permettrait de réaliser la Tour Triangle, porte de Versailles, a pris fin mardi 20 décembre.



Voici le texte que j'ai adressé au commissaire enquêteur, M. Lemasson.






A l'issue de cette enquête, le commissaire enquêteur dispose normalement de deux mois pour remettre son rapport.



Le Conseil de Paris sera alors saisi, selon la teneur de ce document, pour lever des réserves et approuver la révision simplifiée. Mais espérons que le commissaire enquêteur suivra la position des nombreux Parisien-ne-s mobilisés pour cette enquête, et rendra un avis négatif. On jugera alors de la volonté du maire et de sa première adjointe à écouter leurs concitoyens...



26 mai 2011

L'Espagne réinvente la démocratie directe



L'expérience formidable du mouvement indignados en Espagne, vue par Eva Botella-Ordinas sur le site La vie des Idées. Et de se dire : "qu'attendons nous pour faire bouger enfin, et vraiment, notre vieille République ?"

19 mars 2011

La semaine du développement durable durera 15 jours dans le 14e !



La semaine du développement durable a lieu cette année du 1er au 7 avril. Vous trouverez sur le lien ci-dessous le programme des réjouissances dans le 14e, que j’ai organisé avec Sihame, qui bosse au cabinet du maire sur mes délégations.
http://mairie14.paris.fr/mairie14/jsp/site/Portal.jsp?document_id=17718&portlet_id=1387
On présentera notamment une très belle expo sur la glace et le grand nord. En espérant que l’on puisse encore longtemps les photographier (plusieurs conférences mettront en avant les pressions économiques et écologiques qui s’exercent sur ces derniers grands territoires sauvages de la planète).
On aurait voulu faire encore plus, le partenaire avec lequel on espérait monter un forum à la Cité U n'a pas pu nous aider cette année.


On organise quand même, grâce au service de l'écologie urbaine de la Ville de Paris une promenade sur l’écologie urbaine organisée par les services de l’environnement de la ville le dimanche 3.
J’espère vous y retrouver.

4 janvier 2011

Notre modèle actuel de croissance crée des dommages irréversibles sur l'environnement


Retour sur l'interview dans le Monde de ce professeur et chercheur à l'université du Surrey (Grande-Bretagne), par Hervé Kempf.


Tim Jackson est un économiste atypique. En 2000, il devient le titulaire de la première chaire de développement durable créée au Royaume-Uni, à l'université de Surrey. Il y fonde aussi une unité de recherche croisant l'économie, la psychologie et la sociologie.
En 2004, nommé à la commission du développement durable créée par le gouvernement de Tony Blair, le chercheur dirige le travail du groupe "Redefining Prosperity" qui le conduit à écrire Prospérité sans croissance, livre publié en 2007 au Royaume-Uni, et deux ans plus tard en France (De Boeck). C'est l'un des ouvrages d'économie environnementale les plus marquants de ces dernières années. Alors que 2011 débute, M. Jackson livre son pronostic sur la croissance et sur les moyens de faire évoluer le modèle économique actuel, qu'il critique largement.

La croissance peut-elle reprendre en 2011 ?

En ce qui concerne les économies occidentales, la réponse est probablement non. Les mécanismes destinés à maintenir la croissance ont fragilisé le système économique en développant un endettement toxique qui a conduit à l'effondrement des marchés financiers. Or les éléments de cette dynamique de crise restent à l'oeuvre aujourd'hui, car l'expansion monétaire illimitée est par nature instable. De surcroît, le prix du pétrole repart à la hausse.
L'autre aspect de la question est de savoir si l'on peut poursuivre la croissance sans dommages environnementaux irréversibles, sachant que nous vivons dans un monde fini. Pour y parvenir, il faudrait découpler la croissance de la production matérielle, créer de la valeur économique non dans les biens, mais dans les services : loisir, santé, éducation...

Est-ce la tendance suivie jusqu'à présent ?

Non. Les progrès d'efficacité énergétique restent inférieurs à l'expansion de l'économie. De même, les tendances en ce qui concerne la forêt, l'eau ou l'érosion des sols vont dans le mauvais sens. Depuis vingt ans, le discours officiel proclame que la technologie, en dématérialisant l'économie, va résoudre l'impact environnemental négatif de la croissance. Mais ce découplage ne se produit pas. Le niveau de technologie nécessaire pour y parvenir est irréaliste. Ce n'est pas très populaire de le dire, mais la technologie ne peut plus être considérée comme la solution à nos difficultés.

La croissance verte est-elle une piste crédible ?

Il est bien sûr utile d'investir dans une meilleure productivité des ressources et dans les technologies faiblement carbonées. Mais il n'empêche, on retombe toujours sur le même problème : -quelle croissance pouvons-nous atteindre grâce à ces technologies ? Si vous n'analysez pas en profondeur la dynamique du système, vous faites des hypothèses irréalistes sur l'efficacité de la technologie

Quelle solution proposez-vous ?

Notre culture repose sur un appétit continu pour la nouveauté, qui est le langage symbolique des objets. Nous avons encouragé systématiquement le comportement individualiste et matérialiste. Cette psychologie collective est indispensable au modèle actuel, car si les dépenses baissent, il s'écroule. Mais en récession, par exemple, il est à noter que les gens épargnent davantage spontanément, ce qui pénalise le système. Cette épargne supplémentaire - qui se traduit par une moindre consommation - prouve que le modèle économique actuel peut être en contradiction avec le comportement des gens. En fait, l'altruisme est aussi présent chez l'homme que l'individualisme. De même, la course à la nouveauté est en conflit avec le souhait de beaucoup de se satisfaire de l'existant. Dans ces conditions, pourquoi privilégier ce côté individualiste du consommateur, qui n'est qu'une part de la psyché humaine, et l'encourager systématiquement ?

Comment remodeler le système économique ?

Il faut suivre trois démarches. La première est d'admettre que l'expansion économique a ses limites. Nous savons que nos ressources ne sont pas infinies, nous connaissons et mesurons l'impact écologique de nos modes de vie, nous devons donc définir les règles d'une économie fonctionnant dans ce cadre.
La deuxième est de réguler le marché financier, et plus largement la façon dont nous envisageons l'investissement et le profit. Les capitalistes distribuent le profit comme ils le souhaitent. Mais il faudrait mesurer ce dernier autrement - pas seulement en termes financiers, mais aussi en prenant en compte le social et l'environnemental - et le ramener au bénéfice de la communauté.
Le troisième point vise à changer la logique sociale. Le gouvernement peut agir en modifiant la structure des incitations, en fournissant aux gens les moyens de s'épanouir autrement, d'une façon moins matérialiste.

Mais cela peut-il permettre de combattre le chômage ?

Le capitalisme actuel poursuit l'augmentation continue de la productivité du travail, si bien qu'on produit la même chose avec toujours moins de gens. Si vous acceptez cette idée que la hausse de la productivité est la clé du progrès économique, vous n'avez que deux options : l'une c'est d'avoir moins d'emplois dans l'économie, l'autre est d'en avoir autant, ce qui signifie toujours plus de croissance - qui se heurte aux limites des ressources et de l'environnement. Le choix est donc soit de conserver la croissance de la productivité et d'admettre par conséquent qu'il y aura moins de travail dans l'économie, ce qui signifie la mise en place de politiques de réduction du temps de travail ; soit opter pour la fin de la hausse de la productivité, et développer les services sociaux - éducation, aide sociale, maintien des espaces publics, rénovation des bâtiments, etc.
Ces activités sont naturellement intensives en travail : leur qualité ne s'améliore pas par une augmentation de la productivité, au contraire. Si l'on suit ce choix, il y aura certes une baisse des profits, et moins de productivité telle qu'elle est conventionnellement mesurée, mais plus d'emplois...

24 décembre 2010

Oui à l’autopartage, non à la voiture en libre service !


Avec le lancement d'Autolib, 3000 véhicules supplémentaires vont se déverser dans les rues de Paris. Les éluEs EELVA du Conseil de Paris ont annoncé mardi dernier qu'ils étaient réservés quant à l'intérêt -notamment écologique- de cette nouvelle offre de déplacement automobile. Cinq raisons sont mises en avant :

1) Ce nombre imposant de voitures en libre service va réorienter vers l’automobile ceux qui avaient fait le choix d’utiliser les transports en commun ou le vélo (et Vélib' en particulier). Rappelons qu’entre 2001 et 2009 le nombre de voitures sur Paris a chuté de 25%. La voiture doit être un mode de déplacement accessoire en ville et non pas un mode de déplacement habituel. Il est donc préférable de développer les transports en commun et l'autopartage, un système très efficace qui permet de réserver une voiture (pour un usage occasionnel et de courte durée) une heure auparavant et de la ramener sur le lieu où on l'a prise, pour un abonnement modique.

2) Le système Autolib’ n’est pas accessible à ceux qui utilisent leur voiture tous les jours pour travailler (disponibilité des véhicules aléatoire), mais à ceux qui utilisent la voiture de façon impulsive parce que l'offre est disponible.

3) Les Parisiennes et Parisiens vont devoir payer sur leurs impôts, un minimum de 50 000 euros par station (il y en aura 1000 dans un premier temps) auquel il faut ajouter le coût de chaque véhicule et son entretien.

4) Concrètement, on ignore encore le dispositif qui sera mis en place pour éviter les stations trop vides et trop pleines, mais le recours à des "jockeys" qui ramèneraient les automobiles vers les stations vides ne peut qu'ajouter de la circulation inutile et de la congestion, le tout à un coût très élevé.

5) La voiture, même électrique, est polluante (recyclage des batteries…). Le temps de rechargement des batteries (4 heures) s'effectuera notamment en fin de journée durant les pics de consommation, encourageant le recours à l'énergie nucléaire, à la production de centrales thermiques très polluantes et à l'importation d'électricité. Ce n’est donc pas non plus un mode de déplacement écologique.

Une étude d’impact environnemental préalable devrait bientôt le vérifier pour Autolib’. Denis Baupin, adjoint au Maire en charge du développement durable, l’avait demandée en Conseil de Paris ; il attend désormais les résultats avec impatience. « L’étude doit porter sur la pollution de l'air, les émissions de gaz à effet de serre et la consommation d'énergie. Elle comparera l'impact d'Autolib’ à celui qu’aurait eu l’autopartage si on l’avait développé avec autant de moyens ».

Reste des alternatives simples et beaucoup moins coûteuses à Autolib’. Jacques Boutault, maire EELV du 2e arrondissement, le rappelle : « Savez-vous qu'il existe déjà 15 000 voitures en libre service à Paris ? Cela s’appelle des taxis ! Travaillons plutôt à augmenter leur nombre et à faciliter leur fonctionnement, par la mise en place de la carte multimodale ‘Pass mobilité’ qui permet d’avoir un abonnement transports en commun, Vélib’, taxi, etc. »

12 décembre 2010

Cancun : Un grand bond pour le multilateralisme, un petit pas pour le climat


Le sommet de Cancun s’est achevé hier. Retour de Greenpeace pour un bref bilan du sommet de l'avant-dernière chance...


Il aura permis de sauver le processus de négociation multilatéral et international, mais pas le climat, qui reste pour le moment au bord de la route. Si certains avaient prédit la mort du processus, les gouvernements ont montré qu’ils peuvent coopérer et avancer ensemble, d’un petit pas, en direction d’un accord mondial.

La question clé du financement a progressé
Cet enjeu majeur marque un progrès : les gouvernements ont mis en place un fonds destiné à livrer les miliards dont les pays en développement ont besoin pour lutter contre les changements climatiques et la déforestation.
Mais si le fonds est acté, le mécanisme pour fournir l’argent nécessaire, lui, n’a pas été décidé… C’est donc pour le moment une coquille vide !

Une volonté de réduire les émissions liées à la destruction des forêts tropicales
Un mécanisme est adopté, qui, bonne nouvelle, prend en compte la préservation de la biodiversité et les droits des populations forestières. En l’état, le texte n’offre cependant pas toutes les garanties d’efficacité et d’intégrité environnementales : une disposition de l’accord pourrait permettre aux pays forestiers de ne sélectionner que certaines de leurs forêts, au lieu d’une approche nationale. Cette disposition risque donc de permettre de déplacer le problème de la déforestation d’une région à l’autre du pays !Côté financement, notons que la référence au marché carbone et supprimée : une bonne nouvelle pour les forêts et le climat. Le lobby américain des énergies fossiles a donc perdu sur ce point !

Les chausse-trapes des grands pollueurs encore nombreux
Des progrès plus significatifs auraient pu être réalisés à Cancun, sans l’influence néfaste des Etats-Unis, du Japon et de la Russie. Car les déclarations de ces deux derniers pays contre la prolongation du protocole de Kyoto ont plombé le déroulement des négociations. Les Etats-Unis, quant à eux, sont arrivés à Cancun avec des engagements faibles, alors que ce sont eux qui sont, historiquement, responsables des plis grandes émissions ! Ces pays ont tiré vers le bas de nombreux volets des négociations et jeté le doute sur le potentiel de la conférence.

La France à la traîne
Elle est arrivée en retard, et les mains vides … Nathalie Koosciusko-Morizet n’a pas voulu s’associer à ses homologues européens (espagnol et portugais) qui ont annoncé à Cancun leur soutien au passage de 20% à 30% de l’objectif européen de réduction des émissions d’ici à 2020. Par cette annonce ces deux pays rejoignent le Royaume-Uni, le Danemark, le Parlement européen, mais aussi plus d’une quarantaine d’acteurs économiques majeurs tels qu’ Unilever, Allianz, Danone ou Google !
La France, par la voix de NKM, a choisi de freiner les ambitions climatiques de l’Europe. Cette perspective est insoutenable, et la France doit soutenir l’initiative du passage de 20% à 30% de manière inconditionnelle !

La perspective Durban
A Durban, en Afrique du Sud, dans un an, nous aurons besoin d’un accord mondial qui aide les pays à construire une économie verte et tienne les pollueurs pour responsables.Le chemin à parcourir est encore semé d’embûches et partout, à travers le monde, la société civile doit mettre la pression sur les décideurs politiques pour de réels changements, aux niveaux nationaux, et à l’international !

9 décembre 2010

Patrimoine : la fondation Deutsch de la Meurthe


La Région vient de publier un « Parcours du patrimoine » sur la première résidence de la Cité universitaire de Paris.


Rencontre avec son auteur, Brigitte Blanc, chercheur au service Patrimoines et inventaire.


La Cité U : « un patrimoine monumental et naturel d’un intérêt exceptionnel »

Pourquoi la Région a-t-elle choisi d’étudier la Cité universitaire ?

Créée en 1925, la Cité internationale abrite une quarantaine d’édifices représentatifs des principaux courants architecturaux qui ont marqué le XXe siècle : le promeneur y voit défiler des bâtiments d’inspiration régionaliste (par exemple les façades flamandes de la fondation Biermans-Lapôtre, un château néo-Louis XIII imité de Fontainebleau qui abrite la Maison Internationale), des pastiches exotiques comme la maison du Japon ou la fondation Marie Nubar (synthèse de l’architecture religieuse arménienne). Il y découvre aussi quelques fleurons de l’avant-garde architecturale, dont plusieurs sont protégés au titre des monuments historiques : la Fondation suisse construite par Le Corbusier en 1932, le Collège néerlandais, seule réalisation française de l’architecte Dudok ou la Résidence Avicenne, dernier bâtiment édifié à la Cité et particulièrement innovant sur le plan constructif. Cette collection d’architectures originales est disséminée dans un parc de 34 hectares aménagé sur des plans du grand paysagiste Jean-Claude Nicolas Forestier et doté de plus de 400 essences végétales différentes. Le tout constitue un patrimoine monumental et naturel d’un intérêt exceptionnel, dont la Région et la Cité internationale souhaitent préserver et diffuser la mémoire, ce qui suppose qu’il soit dans un premier temps étudié de façon approfondie.

La Cité universitaire compte au total 36 pavillons. Chacun d'entre eux fera-t-il l'objet d'une étude ?

Pour établir l’inventaire de ce patrimoine, une convention de partenariat a été signée entre la Région et la Cité internationale ; elle prévoit la mise en commun de moyens matériels et humains et a été signée pour une durée de 5 ans. C’est un laps de temps relativement court pour l’étude d’un ensemble aussi riche et diversifié, et chaque pavillon ne pourra pas faire l’objet d’une analyse aussi fouillée que la fondation Deutsch de la Meurthe ; celle-ci s’explique notamment par l’existence, pour cette maison, d’une documentation très abondante, qui fait défaut dans d’autres cas, en particulier pour les maisons postérieures à la seconde guerre mondiale, ce qui permettra de faire l’économie d’une longue phase de recherche.

« L’archétype des futures résidences de la Cité »


Pourquoi avez-vous commencé votre étude par la fondation Deutsch de la Meurthe ? Inaugurée en 1925, la fondation Deutsch est la première résidence de la Cité. Elle en constitue en quelque sorte la « cellule-mère » et marque le point de départ de sa création. Son programme a inspiré l’aménagement de l’ensemble du site et a servi de modèle aux autres maisons. Pour se familiariser avec l’histoire de la Cité, il était donc logique de se pencher en premier lieu sur cette réalisation qui a été conçue comme l’archétype des futures résidences de la Cité.


Où et comment avez-vous mené vos recherches ?

L’étude a commencé comme toujours par de longues recherches en bibliothèque et dans les fonds d’archives : Archives de Paris et surtout Archives nationales, où la CIUP a versé en 2009 environ 370 mètres linéaires, ce qui est un volume particulièrement conséquent ! Ce fonds est constitué des dossiers de la Fondation nationale chargée de gérer la Cité, des maisons qui la composent, de son théâtre… Il permet d’illustrer chacun des volets de l’étude : projet intellectuel dans le contexte pacifiste de l’entre-deux-guerres, aménagement urbain après la démolition des fortifications, histoire du projet architectural et mobilier des différentes maisons, étudiées au cas par cas de façon plus au moins approfondie.


Quels sont les prochains pavillons que vous allez étudier ? Avez-vous d’autres projets d’édition ?

Sont d’ores et déjà étudiées, outre la fondation Deutsch, les maisons du Canada, de l’Argentine, de l’Arménie, ainsi que la Maison Internationale qui abrite les services généraux de la Cité, et le domaine lui-même du point de sa constitution et de son aménagement. L’enquête doit se poursuivre dans l’ordre chronologique des réalisations par l’étude des pavillons de la Belgique, du Japon puis de l’Asie du Sud-Est. Après la publication de ce Parcours du patrimoine, d’autres opérations de restitution sont prévues, notamment sous la forme d’un ouvrage de synthèse du type Cahiers du patrimoine, qui interviendra à la fin de l’enquête. Avec le centre de ressources patrimoniales de la Cité, qui est pour nous un interlocuteur très précieux, nous réfléchissons à un projet d’exposition permettant de mettre en valeur le fonds photographique constitué tout au long de l’enquête ; nous avons d’ailleurs déjà collaboré avec lui à la préparation des évènements de l’ «année Honnorat » destinée à mieux faire connaître la personnalité d’un des principaux fondateurs de la Cité internationale.

Parcours du Patrimoine, n°354,
2010, 48 pages, ill., 7€
Auteur : Brigitte Blanc. Photographe : Philippe Ayrault

Disponible dans toutes les librairies ou auprès de l'éditeur Somogy, 57, rue de la Roquette 75011 Paris. Tel. : 01.48.05.70.10. E-mail : info@somogy.fr

Possibilité de consulter et d'acheter les publications au centre de documentation du service Patrimoines et Inventaire au 115, rue du Bac 75007 Paris. Tél. : 01.53.85.59.93.